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L'attaquant argentin du FC Barcelone, Lionel Messi, a prolongé son contrat de deux ans, soit jusqu'en 2016, avec le club champion d'Espagne et d'Europe.

"L'Argentin sera +blaugrana+ jusqu'en 2016", écrit le club catalan dans un communiqué, précisant que sa clause libératoire grimpe du même coup de 150 à 250 millions d'euros !

Le club catalan ne précise pas en revanche l'augmentation de salaire dont va bénéficier "Leo" Messi, qui gagnait jusqu'à présent entre 7 et 8 millions d'euros annuels nets. Marca avait assuré le 4 septembre qu'au terme de cette renégociation, Messi, 22 ans, allait devenir "le footballeur le mieux payé de la planète", avec un salaire annuel net pouvant atteindre 10 à 12,5 millions d'euros.

Le petit attaquant argentin est arrivé au Barça à l'âge de 13 ans.



Messi sous contrat jusqu'en 2016

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[postlink]https://100streaming.blogspot.com/2009/09/toni-na-pas-marque.html[/postlink]
L'attaquant italien du Bayern Munich, Luca Toni, longtemps indisponible en raison de douleurs à un tendon d'Achille, a disputé son premier match de la saison 2009-10 vendredi soir, avec l'équipe réserve du club bavarois, sans marquer de but.

Le champion du monde 2006 a joué les 45 premières minutes du match opposant son équipe à Regensburg lors de la 10e journée du Championnat d'Allemagne de 3e division, match qui s'est soldé par une lourde défaite du Bayern (5-0).

"Cela s'est très bien passé d'un point de vue personnel. J'aurais voulu jouer plus longtemps pour pouvoir encore aider plus l'équipe", a souligné Toni, dont le dernier match sous le maillot du Bayern remontait au 23 mai. "Je suis maintenant prêt pour jouer avec l'équipe première", a assuré le meilleur buteur du Championnat d'Allemagne 2007-08.

L'Italien ne devrait toutefois pas retrouver aussi facilement qu'il semble l'espérer sa place en 1re division avec un secteur offensif comprenant Mario Gomez, Miroslav Klose, Ivica Olic et la révélation Thomas Müller. De plus, son entraîneur Louis van Gaal n'aligne que des joueurs en forme physiquement, comme l'ont pu constater Franck Ribéry, toujours pas titularisé en Championnat d'Allemagne cette saison, et Miroslav Klose, privé des deux derniers matches de son club afin qu'il améliore sa condition physique.



Toni n'a pas marqué

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La Ligue 2 convient à ce FC Nantes après sept journées disputées. Les hommes de Gernot Rohr, auteurs d'un match nul à Bastia (1-1), André répondant à l'ouverture du score de Zerka, s'emparent de la première place. Les Nantais dépassent provisoirement Caen en tête du classement, grâce à une meilleure différence de buts (+7 contre +4), des Normands qui accueilleront Ajaccio lundi en clôture de cette 7e journée.
Châteauroux, qui avait la possibilité de devenir seul leader, perd à Vannes (3-2), malgré un penalty raté par les Bretons. Auteur d'un quadruplé, Giroud offre la victoire à Tours face à Arles (4-2). Les Tourangeaux se hissent à la troisième place. Opposé à l'En Avant Guingamp, Brest l'a emporté 2-0 dans le derby breton. A l'autre bout du classement, Strasbourg continue son chemin de croix. Les Alsaciens sont désormais lanternes rouge après leur revers à Clermont (0-3). Les Clermontois remportent leur première victoire de la saison en championnat et cèdent ainsi leur dernière place à leurs adversaires du soir.

Nantes leader

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Le champion d'Allemagne en titre, Wolfsburg, s'est relancé après trois défaites consécutives en battant 2 à 1 Schalke 04, dirigé par l'entraîneur de son inattendu sacre, Felix Magath, vendredi en match avancé de la 6e journée.

Arrivé dans la Ruhr en juillet, Magath avait prévenu avant le match que sa nouvelle équipe, 3e après la 5e journée, n'était pour le moment qu'au niveau où il avait trouvé Wolfsburg à sa nomination en 2007. Le déroulement de la rencontre lui a donné raison: Schalke 04 a certes dominé, mais a manqué de réalisme face à des "Loups" qui ont retrouvé leur diabolique efficacité offensive.

Après une première période terne, la rencontre s'est emballée au retour des vestiaires: le Bosniaque Edin Dzeko ouvrait la marque à la 55e minute d'une superbe tête. Mené 1 à 0, le club du bassin de la Ruhr ne s'avouait pas vaincu, mais Halil Altintop manquait l'égalisation (70) en butant sur André Lenz, suppléant du gardien titulaire Diego Benaglio, suspendu pour deux matches. Dix minutes plus tard, Höwedes devançait de la tête au premier poteau la défense de Wolfsburg (1-1), mais la joie des supporteurs de Schalke 04 était de très courte durée.

Sur l'engagement, Wolfsburg reprenait le large sur un mouvement conclu par Dzeko (81) qui propulsait son équipe, victorieuse du CSKA Moscou (3-1) pour ses débuts en Ligue des champions mercredi, provisoirement à la 5e place (9 pts).

Samedi, le Bayern Munich, 6e avec 8 points après deux victoires de rang contre Wolfsburg (3-0) et Dortmund (5-1), reçoit le promu Nuremberg et peut en cas de victoire revenir à deux longueurs du duo de tête, Hambourg et Leverkusen. Le leader et son dauphin (13 points tous les deux) jouent dimanche, le HSV, humilié en Europa League par le Rapid Vienne (3-0) jeudi, se déplaçant à Francfort et le Bayer recevant l'imprévisible Werder Brême.



Wolfsburg écoeure Schalke 04

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[postlink]https://100streaming.blogspot.com/2009/09/tsonga-efface-le-black-out-de-monfils.html[/postlink]Photo TEAMSHOOT*

Jo-Wilfried Tsonga a ramené la France à 1-1 face aux Pays-Bas, en barrage de Coupe Davis, après sa victoire en trois sets contre Huta Galung 7-6, 6-2, 7-6. Gaël Monfils a pour sa part expliqué avoir été victime d'un "black-out" lors de son match perdu en quatre sets (6-3, 5-7, 6-3, 6-4) face à Thiemo De Bakker, refusant tout lien avec une nervosité liée à sa première sélection.
Jo-Wilfried Tsonga a permis à la France de revenir à 1-1 face aux Pays-Bas en barrage de la Coupe de Davis en battant Jesse Huta Galung en trois sets 7-6 (2), 6-2, 7-6 (3) dans le deuxième simple vendredi à Maastricht. Après la déflagration de la défaite en quatre sets totalement inattendue de Gaël Monfils, 13e mondial, face à Thiemo De Bakker, 122e mondial, dans le premier simple, Tsonga était sous pression malgré la faiblesse supposée de son adversaire. Mais Tsonga, bien laborieusement toutefois, a remis la France, qui joue sa survie dans le groupe mondial, dans le bon sens.

Avec sa quatrième victoire en Coupe Davis, Tsonga s'affirme comme le patron de l'équipe de France et peut-être même le sauveur. Car c'est la deuxième fois qu'il pallie les errances de ses partenaires : il l'avait déjà fait face à la République tchèque après la défaite de Gilles Simon, sans que cela ne suffise, la France ayant finalement été éliminée 3-2.

Mais le 7e joueur mondial a eu un peu plus de mal que prévu lui aussi face au 293e joueur mondial qui l'a poussé deux fois au tie-break. Une première fois dans le premier set, où, sans doute galvanisé par l'exploit de son compatriote De Bakker, Huta Galung, qui n'avait absolument rien à perdre, a bien gêné le Français. Mais la maîtrise et l'expérience de Tsonga ont fait la différence dans le jeu décisif qu'il s'est adjugé 7 points à 2. Une fois lancé, Tsonga n'a pas laissé respirer son adversaire, survolant le deuxième set face à un joueur incapable de suivre le rythme.

Le troisième set fut encore serré, Tsonga sauvant deux balles de set à 5 jeux à 4 contre lui. Mais Huta Galung s'est écroulé dans le jeu décisif, perdu 7 points à 3.

Malgré tout, contre toute attente étant donné la marge que possédaient les Français face à leurs adversaires, les Pays-Bas sont encore en position de faire douter l'équipe de Guy Forget lors du double samedi, qui devrait être décisif.

L'équipe de France devrait aligner samedi une paire inédite Tsonga-Llodra, qui s'est testée cet été sur le circuit américain mais qui n'a jamais joué en Coupe Davis. Les Pays-Bas devraient eux aligner la paire Jesse Huta Galung-Igor Sijsling à moins que leur capitaine ne décide au dernier moment de faire jouer De Bakker avec Huta Galung.

"Il va falloir qu'on soit solide demain (samedi en double) pour prendre ce point qui sera décisif", pense Tsonga. "Il va falloir qu'on fasse attention parce que ce sont de très bons serveurs et volleyeurs, donc, en double ce sera difficile. Je pense qu'il (Monfils) a été un peu surpris par le niveau de jeu de son adversaire, il ne s'attendait pas à ce qu'il joue aussi bien. Il est peut-être aussi tombé dans les travers de la Coupe Davis, ça pompe beaucoup de jus nerveusement, il s'est un peu entamé en début de match et ça lui a coûté cher sur la fin."

De son côté, Gaël Monfils s'est défendu d'une pression due à sa première sélection. "Ce serait même honteux de lier ça à la première sélection, a estimé Monfils. J'ai juste été nul aujourd'hui. Si je le dis, c'est que je cherche une excuse. Or, j'ai juste été mauvais. J'ai pris un knock-out !"

Le Français, 13e joueur mondial mais qui n'avait encore jamais joué en Coupe Davis, a paru liquéfié pendant toute la rencontre, multipliant les mauvais choix et incapable de réagir face à un joueur qu'il devance pourtant de plus de cent places au classement ATP.

"C'est rien du tout, la Coupe Davis, a-t-il expliqué. J'aime bien la pression. Il n'y a pas eu de peur. C'est juste que j'ai eu un +black-out+ aujourd'hui, et ça ce n'est pas normal. J'en ai parfois en match, très peu maintenant, mais celui-là arrive au mauvais moment. Je vais travailler dessus, mais c'est sûr que je m'en veux terriblement."

"En fait, je m'en fous un peu de la première défaite (en Coupe Davis, ndlr); a-t-il ajouté. Ce dont je ne me fous pas, c'est de la façon dont j'ai joué. Je suis très déçu de mon match. Cela arrive de perdre, première sélection ou pas première sélection."

"Vous savez, j'ai eu un petit souci hier dans ma vie personnelle et peut-être que si j'avais eu mes proches avec moi, j'aurais pu l'évacuer. Cela a peut-être joué", s'est-il interrogé.



Tsonga efface le "black-out" de Monfils

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Journée chargée
Photo TEAMSHOOT

Avec Marseille-Montpellier, Nice-Monaco et Lens-Lille, la 6e journée de Ligue 1 ne manquera pas de derbies. Si on ajoute un alléchant Paris SG-Lyon en clôture, la journée promet d'être riche d'enseignements après une semaine européenne.
Marseille, qui se voyait tout en haut de l'affiche, a pris une douche froide, au sens propre comme au figuré, mardi au stade Vélodrome. Battus par le Milan AC (1-2), les Marseillais ont pu mesurer la différence qu'il peut exister entre le championnat et la Coupe d'Europe. Or, en Ligue 1, les Marseillais n'apparaissent pas aussi souverains qu'on voudrait le faire croire. Offensivement, il manque un joueur pour occuper le côté droit où ni Hatem Ben Arfa, ni Mathieu Valbuena ou Bakary Koné n'arrivent à s'imposer. Défensivement, le match des Ligue des champions a réveillé les démons de la saison passé où l'OM maîtrisait le ballon, mais se faisait régulièrement piégé par ses erreurs défensives. Si les hommes de Didier Deschamps ne veulent pas s'inscrire dans une spirale négative, ils doivent impérativement battre Montpellier au Vélodrome. Or, le promu n'arrive pas les bras croisés. Les Héraultais sont non seulement efficaces sur coups de pied arrêtés, mais ils sont également performants défensivement avec seulement trois buts encaissés en cinq rencontres.

Dans le vrai derby 100% azuréen, Nice, totalement largué en ce début de saison, quatre journées sans victoire, reçoit un Monaco requinqué par son succès devant le Paris SG (2-0). Les Aiglons auront également le désavantage d'évoluer des gradins abandonnés par ses supporters ultras. Les associations veulent protester contre des sanctions qui ont récemment frappé plusieurs supporters, notamment avec des interdictions de stade

Ce ne sera pas un derby, mais Grenoble jouera très gros contre Rennes. Dernier avec cinq défaites (huit buts encaissés, deux marqués), le GF38 est déjà au pied du mur. Après une première saison encourageante en Ligue 1 (13e), Grenoble, qui avait surfé sur la dynamique de son accession l'an dernier, connaît à l'inverse un début de saison plus que noir.

Battu à Monaco, le Paris veut récupérer les points perdus en Principauté contre l'Olympique Lyonnais. Pas facile. Même si le Parc des Princes réussit au club de la capitale en ce début de saison avec deux victoires et un seul but encaissé. Pour l'occasion, la rencontre marquera les premières retrouvailles de Grégory Coupet avec son ancien club depuis son départ.

Journée chargée